C'est Pascal qui m'a abordé... Il m'a demandé une pièce, pour manger. En échange, il a accepté de participer à mon projet, bien que très méfiant : il avait manifestement peur que je sois de la police. Je l'ai rassuré et lui ai expliqué en quoi consistait précisément ce projet, et j'ai tenté de discuter un peu avec lui. Il m'a dit qu'il n'était pas à la rue, qu'il avait un petit local exigu où dormir. Il a ajouté que j'aurais peut-être plus de mal à réaliser mon projet à Caen qu'avec les parisiens... C'est lui qui le dit !
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